Un chef local de Forza Nuoava violemment passé à tabac par des traîtres gauchistes
Forza Nuova est un petit parti italien plutôt nationaliste, et qui suscite en conséquence la haine des anti-blancs.
ANSA :
Au moins six personnes ont encerclé Massimo Ursino, le chef provincial de Forza Nuova, à Palerme, lui attachant les mains et les pieds avec du ruban adhésif et le battant jusqu’au sang. Cela s’est produit vers 19 heurs Via Dante, une rue animée et centrale avec des magasins ouverts et des gens le long du trottoir. Les assaillants étaient vêtus de noir et avaient le visage couvert de foulards.. Selon les témoins se trouvait parmi eux une fille qui a filmé les coups avec un téléphone portable.
Ursino aurait un nez cassé, des ecchymoses au visage et sur tout le corps, ainsi qu’une blessure présumée à l’épaule.
Une vidéo partielle de l’agression :
On n’y voit pas grand chose, mais la brutalité de l’agression est manifeste aux cris d’Ursino.

L’agression a été revendiquée au moyen d’une déclaration envoyée par courrier électronique à diverses organisations de presse locales :
Quelques jours avant l’arrivée dans la ville de Roberto Fiore, prévue dans la ville pour un rassemblement en conclusion de la campagne électorale Massimo Ursino, chefs local et national du parti Forza Nuova, a été impressionné de façon exemplaire alors qu’il marchait dans les rues du centre ; il était coincé, immobilisé et attaché avec du ruban adhésif, puis laissé au sol sans pouvoir s’échapper.
Ceux qui disent qu’il existe une « menace fasciste », à Palerme comme dans le reste de la Sicile, devront réfléchir à nouveau : ces hommes de petite taille appartenant aux formations néo-fascistes, qui fondent leur doctrine politique sur le racisme et la discrimination ainsi que sur une identité forte et combative, s’effondrent en un rien de temps sous les coups bien placés de l’antifascisme, en fait ils ne peuvent pas se défendre, encore moins mettre en œuvre leur programme politique.
Ces vermines antifas glosent sur leur force quand ils s’y prennent à six contre un pour attaquer un adversaire par surprise. Ils sont un peu comme les nègres à ce point de vue : « courageux » seulement en fort surnombre. Lorsqu’ils ne disposent pas d’un important avantage numérique, ils sont généralement mis en déroute lors d’un affrontement contre des nationalistes (en atteste, par exemple, la fameuse affaire Méric, où en dépit d’une attaque en surnombre, les antifascistes ont été laminés).
Cet épisode est aussi l’occasion d’éclaircir un épisode historique souvent méconnu.
Les anti-blancs aiment bien nous raconter comment prétendument les nationaux-socialistes auraient pratiqué une violence politique indiscriminée pour arriver au pouvoir. Cependant, en réalité, comme en atteste un ouvrage détaillé publié par les éditions de l’université de Cambridge (en) (PDF), ce sont d’abord et avant tout les communistes du KDP qui ont mené une campagne de guerre (ou de terrorisme si l’on préfère ce terme) à l’encontre des nationaux-socialistes, face à l’échec de leurs autres stratégies. Les structures paramilitaires national-socialistes étaient une nécessité organisationnelle dans un pareil contexte.
« Bizarrement », la campagne d’assassinats par les communistes contre les nationaux-socialistes n’est jamais mentionnée dans les cours d’« Histoire » dans les écoles françaises…
Manifestations tendues
AFP :
L’Italie a été parcourue de manifestations politiques parfois tendues samedi, à une semaine des législatives du 4 mars, avec une démonstration de force de Matteo Salvini (extrême droite) à Milan et des milliers de manifestants antifascistes à Rome.
Le ministère italien de l’Intérieur a recensé 119 rassemblements de tailles diverses dans 30 provinces et a annoncé avoir mobilisé 5.000 policiers dans tout le pays pour assurer l’ordre, la plupart dans la capitale.
De brefs heurts ont essentiellement concerné Milan (nord), où les forces de l’ordre se sont opposées à une poignée de militants d’extrême gauche qui voulaient empêcher le déroulement d’un rassemblement de Fratelli d’Italia (extrême droite) le matin puis de CasaPound (néofasciste) en début d’après-midi.
Sur le parvis de la cathédrale de cette ville, c’est sur l’aria « Nessun dorma » et son épique « vincerò » (je gagnerai) final que M. Salvini est arrivé, sa fille de cinq ans dans les bras, sur le podium pour décliner son programme.
Allié avec la droite de Silvio Berlusconi pour les législatives, le patron de la Ligue ambitionne d’arriver premier au sein de cette coalition qui fait la course en tête dans les sondages afin de devenir le chef du gouvernement.
« Les Italiens d’abord », a-t-il martelé samedi, s’attaquant avant tout à l’immigration et à Matteo Renzi, le chef de file du centre gauche pour les élections, copieusement sifflé par la foule – 15.000 à 20.000 personnes selon la police, 50.000 selon la Ligue – qui agitait, sous le soleil, des drapeaux de la Ligue, de Venise ou encore de la Sardaigne.
[…]
C’est aussi de liberté qu’il s’est agi à Rome, où des manifestants ont défilé dans le calme pour dénoncer le fascisme, un rassemblement décidé lorsqu’un militant de la Ligue a tiré sur des Africains à Macerata (centre) en représailles à un meurtre sordide attribué à des Nigérians.
Même un mois après le meurtre, alors que la responsabilité du crime affreux ne fait aucun doute, l’AFP nous met « attribué » comme s’il y avait du doute.
Et prétendre que les manifestants gauchistes s’intéressent à la liberté, c’est ridicule.
A l’appel l’Association nationale des partisans de l’Italie, des milliers de personnes ont marché sous une fine pluie froide et une marée de drapeaux rouges et verts de syndicats.
« Nous sommes là pour dire non au fascisme, parce qu’il y a trop d’épisodes malsains en ce moment, il ne faut pas que ça revienne », a déclaré à l’AFP Rita Solo, 50 ans, une militante du syndicat CGIL venue de Sardaigne. Derrière elle, une pancarte proclamait : « Make Italia antifascista again » (Rendez l’Italie à nouveau antifasciste).
« Les partis nationalistes font réémerger les valeurs fascistes, la peur de ce qui est différent revient. Nous, les jeunes, on ne peut pas céder à cette peur, sinon on va faire un bond de 100 ans en arrière », a ajouté Marta Zambon, une éducatrice milanaise de 27 ans, un foulard tricolore autour du cou.
Une gauchiste qui s’est engagée dans l’Endoctrinement National italien nous ressort la soupe habituelle.
« La peur de ce qui est différent » : une expression de propagande visant à faire passer les crétins accueillant l’ennemi pour des gens audacieux et ceux voyant le danger réel pour des pleutres.
De même elle exprime, en parlant de « bond de 100 ans en arrière », cette idée marxiste absurde d’un sens de l’Histoire linéaire.
La démocratie dégénérée et négrifiée n’est certainement pas la forme suprême de civilisation !
Le chef du gouvernement, Paolo Gentiloni, et Matteo Renzi ont brièvement participé à ce rassemblement qui s’est déroulé dans le calme.
Évidemment, les responsables du PD ont fait les tafioles en allant dire « le fascisme c’est mal » ; prétendant implicitement que la négrification de l’Italie serait par contre formidable.
Et à Palerme, en Sicile (sud), le climat était tendu avant un rassemblement du groupuscule néofasciste Forza Nuova protestant contre l’agression d’un responsable local de ce mouvement, roué de coups mardi par des hommes masqués. Un millier de militants se sont finalement rassemblés sans heurts sur une place de la ville.
Bizarrement, les antifas qui faisaient tant les malins à six contre un ne se sont pas présentés !